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19.12.2016

849 000 $ en contenants consignés non rapportés au Saguenay-Lac-Saint-Jean


Lundi, 19 décembre 2016 – RECYCLAGE. L’association Consignéco a trouvé un moyen comique d’inviter la population à rapporter leurs contenants consignés. En effet, elle soutient que les lutins de Noël, bien connus pour leurs farces, auraient dispersé 460 millions de contenants consignés non rapportés aux quatre coins de la province.

Consignéco a affirmé que ces contenants valent leur pesant d’or, soit 28 millions de dollars et a souligné que ce montant pourrait définitivement soutenir la mission des 8 000 organismes et 16 000 fondations qui sont recensés au Québec.

Au Saguenay-Lac-Saint-Jean, le nombre de canettes consignées dissimulées est estimé à près de 15,4 millions. Cela représenterait un montant de 849 000 $.

Consignéco a ajouté que les 300 groupes communautaires et fondations de la région pourraient profiter de ce coup de pouce financier pour soutenir leurs missions et projets.

« Sur le plan environnemental, la consigne est une avenue des plus payantes comme elle permet de recycler la matière à 100 %. Elle constitue aussi une source de financement pour des projets communautaires de toute sorte. Clairement, en valorisant nos contenants consignés, on peut faire une différence et transformer sa communauté », a mentionné Pascale Demers, porte-parole de Consignéco.

Selon un sondage réalisé par la firme Léger, ce serait 8% des organismes à but non lucratif de la province qui auraient recours à la collecte de contenants consignés comme source de financement.

Ce serait même une question de survie pour près du quart d’entre eux, soit 21%.

Il y aurait même 86% des organisations sondées qui croient que le montant de la consigne devrait être rehaussé afin d’augmenter les retombées positives pour l’environnement.

Source : http://www.letoiledulac.com/actualites/2016/12/19/849-000—en-contenants-consignes-non-rapportes-au-saguenay-lac-.html

Audrey-Anne Maltais  

Publié le 19 décembre 2016

 
19.12.2016

« À vos marques… prêts… consignez! »


Lundi, 19 décembre 2016 – Plusieurs personnes ignorent parfois à quel point les canettes consignées peuvent avoir un impact significatif sur l’environnement et auprès des organismes. Au Québec, 460 millions de contenants consignés non rapportés ont été trouvés. L’ensemble de ces mêmes contenants ont une valeur de 28 millions $.

Bon nombre de canettes trainent parfois sous la neige, dans les arénas ou bien dans les poubelles. Ce que certains oublient, c’est que ces contenants consignés, si rapportés, ont leur mot à dire en environnement. Les 460 millions de contenants consignés non rapportés au Québec ont une valeur estimée de 28 millions $. Ce montant peut donc soutenir la mission de 8 000 organismes et de 16 000 fondations.

« Sur le plan environnemental, la consigne est une avenue des plus payantes comme elle permet de recycler la matière à 100 %. Elle constitue aussi une source de financement pour des projets communautaires de toute sorte. Clairement, en valorisant nos contenants consignés, on peut faire une différence et transformer sa communauté », explique Pascale Demers, porte-parole de Consignéco.

Quelques chiffres en Estrie

Dans la région de l’Estrie, il est possible de retrouver 18 millions de canettes consignées, mais non rapportées un peu partout sur le territoire. Cela représente une somme d’environ 987 000 $. Ce montant pourrait soutenir plus de 220 groupes communautaires et fondations.

Selon la firme Léger, 8 % des organismes à but non lucratif du Québec font la collecte des contenants consignés pour aller chercher du financement. De ce nombre, près du quart peuvent survivre avec cette collecte. Pour plusieurs, le montant de la consigne devrait être plus haut pour augmenter les retombées positives sur l’environnement.

Source : http://www.estrieplus.com/contenu-consigne_consigneco_environnement-1355-40790.html

Par Vincent Lambert

 
19.12.2016

COMMUNIQUÉ — LES LUTINS DE NOËL FRAPPENT UN GRAND COUP


Montréal, le 19 décembre 2016 – Espiègles et friands d’un dernier coup d’éclat spectaculaire, les lutins de Noël ont sévi à quelques jours des Fêtes en dispersant 460 millions de contenants consignés non rapportés aux quatre coins de la province. Cachés sous un banc de parc, enfouis dans la neige ou esseulés dans les estrades de l’aréna du coin, ces contenants valent pourtant leur pesant d’or : 28 millions de dollars! De quoi soutenir la mission des 8 000 organismes et des 16 000 fondations qu’on recense au Québec grâce à la consigne. Un geste à répéter… 365 jours par année!

 

Visiblement, les lutins nous convient à une véritable chasse au trésor! Et à quelques jours de Noël, quoi de mieux que de se lancer à la trace de ces « vertes » canettes pour redonner à sa communauté. À vos marques… prêts… consignez!

 

 « Sur le plan environnemental, la consigne est une avenue des plus payantes comme elle permet de recycler la matière à 100 %. Elle constitue aussi une source de financement pour des projets communautaires de toute sorte. Clairement, en valorisant nos contenants consignés, on peut faire une différence et transformer sa communauté », d’indiquer Pascale Demers, porte-parole de Consignéco.

 

Rappelons qu’un sondage mené par la firme Léger confirme que 8 % des organismes à but non lucratif du Québec ont recours à la collecte de contenants consignés comme source de financement. Pour près du quart d’entre eux (21 %), il s’agit même d’une question de survie! Pour 86 % des organisations sondées, le montant de la consigne devrait même être rehaussé afin d’accroître les retombées positives pour l’environnement.

 

À PROPOS DE CONSIGNÉCO

Fondée en 2011, Consignéco est une association à but non lucratif qui vise à faire connaître la valeur économique, écologique et sociale de la consigne afin d’inciter les gens à rapporter les contenants de bière consignés chez les détaillants. Issue d’une entente entre les brasseurs et RECYC-QUÉBEC, cette association regroupe les membres de l’industrie brassicole du Québec dont la Brasserie Labatt du Canada, Molson Coors Canada, le Regroupement des distributeurs de bières du Québec, Sleeman Unibroue et l’Association des microbrasseries du Québec. Vos canettes ont de la valeur : rapportez-les! consigneco.org.

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POUR INFORMATION :

SOURCE :

Pascale Demers

Directrice des communications

Consignéco

Tél. : 514 953-5551

Alexandre Boucher

Le Cabinet de relations publiques NATIONAL

Tél. : 418 648-1233, poste 1235

Courriel :

 
22.06.2016

CONSIGNÉCO ET LA SÉPAQ: 160 000 CONTENANTS 100 % RECYCLÉS


Québec, le 21 juin 2016 – Pour une 5e année consécutive, Consignéco et la Société des établissements de plein air du Québec (Sépaq) font front commun pour retracer et pour donner une valeur aux contenants consignés. Après avoir incité les utilisateurs des parcs nationaux d’Oka, du Mont-Orford et de la Yamaska à rapporter leurs précieux contenants consignés pour soutenir le Fonds Parcs Québec grâce à l’argent de la consigne, voilà que le Parc de la Chute-Montmorency et les parcs nationaux des Îles-de-Boucherville et du Mont-Saint-Bruno se joignent au mouvement. Objectif? Faire une différence significative pour l’environnement… un contenant consigné à la fois. Comment? En visitant ces lieux magnifiques et en déposant les contenants vides dans les bacs identifiés aux couleurs de la campagne « Vos vides pour une bonne cause ».

Déjà, les retombées de ce partenariat sont remarquables : 160 000 contenants consignés ont été recyclés à 100 %, permettant d’amasser près de 9 000 $ pour le Fonds Parcs Québec et de soutenir des initiatives inspirantes. On pense notamment à l’acquisition de connaissances sur les reptiles au parc national d’Oka, la restauration de l’habitat du caribou au parc national de la Gaspésie, les fouilles archéologiques d’un site préhistorique au parc national du Lac-Témiscouata. Les trois établissements qui s’ajoutent cette année disposent déjà d’infrastructures de récupération et de visuels à l’image de la campagne afin d’inciter les visiteurs à repérer, puis à déposer leurs « vides » au bon endroit. Une vidéo [https://vimeo.com/71353545] reflète en outre toute la portée de cette initiative inspirante de consigne sociale.

« Nous sommes enthousiastes à l’idée d’élargir ce partenariat gagnant à travers le réseau de la Sépaq et de sensibiliser un nombre toujours croissant de consommateurs au potentiel et à la valeur de nos contenants consignés. La consigne constitue un levier payant sur les plans environnemental et social. À l’aube de prendre d’assaut ces parcs majestueux, nous proposons aux visiteurs de poser un geste simple pour soulager l’environnement et de soutenir la mission du Fonds Parcs Québec pour que d’autres générations puissent, elles aussi, profiter des beautés de la nature », se réjouit la porte-parole de Consignéco, madame Pascale Demers.

« Le développement durable et la protection de l’environnement représentent des valeurs fondamentales qui guident nos activités quotidiennes. Ce partenariat s’inscrit en droite ligne avec notre vision et nous permet non seulement de récupérer et de valoriser des produits recyclables, mais aussi de contribuer à la conservation des territoires naturels pour que l’on puisse les léguer à nos petits et arrière-petits-enfants », de préciser le président-directeur général de la Sépaq, monsieur John MacKay.

Rappelons que, chaque année au Québec, plus de 460 millions de contenants consignés ne sont pas retournés au Québec, ce qui représente 25 millions de dollars. D’ailleurs, une vaste étude de caractérisation a démontré
que ces contenants se retrouvent notamment dans les industries, commerces et institutions (ICI), mais qu’il y en a également dans les établissements de la Sépaq, d’où l’intérêt de multiplier les initiatives pour rejoindre et pour mieux sensibiliser le consommateur.

« En plus de contribuer au développement économique de nos régions, les parcs nationaux offrent une vitrine incroyable sur la richesse naturelle que possède le Québec. L’initiative présentée aujourd’hui est tout indiquée pour rehausser la valeur et la beauté de nos ressources, réduire notre empreinte écologique et soutenir, encore davantage, la protection de la faune et de ses habitats », d’ajouter le ministre des Forêts, de la Faune et des Parcs, monsieur Laurent Lessard.

« Tout comme la collecte sélective, la consigne fait partie de la solution face aux enjeux de lutte contre 
les changements climatiques, d’épuisement des ressources non renouvelables et de la qualité des écosystèmes. Cette association avec les établissements de la Sépaq démontre que les retombées positives du système de consigne dépassent le plan social et environnemental. Il s’agit d’un geste simple et concret qui peut engendrer des gains économiques intéressants pouvant servir à différentes causes. Ensemble, nous pouvons effectuer la transition vers une économie forte et novatrice, mais également plus sobre en carbone et respectueuse de l’environnement. Ce défi important, il faut le relever afin de permettre à nos enfants de vivre dans une société prospère, responsable et sans gaspillage. Faisons-le pour eux! », de renchérir le ministre du Développement durable, de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques, monsieur David Heurtel.

« Consignéco et la Sépaq peuvent être fiers du chemin parcouru au cours des dernières années. L’élargissement de ce partenariat contribue à l’atteinte de l’objectif fondamental de la Politique de gestion des matières résiduelles, qui est de faire en sorte que la seule matière résiduelle éliminée au Québec soit le résidu ultime. Nous ne pouvons qu’encourager ce genre d’initiatives permettant une fois de plus d’illustrer concrètement comment les citoyens peuvent à la fois poser un geste environnemental et contribuer à financer des causes qui leurs tiennent à cœur. Bref, ce projet démontre qu’ensemble, nous pouvons faire la différence », de conclure le président-directeur général de la société d’État RECYC-QUÉBEC, monsieur Dany Michaud.

À PROPOS DE LA SÉPAQ ET DU FONDS PARCS QUÉBEC
La Sépaq a pour mandat d’administrer et de développer des territoires publics et des équipements touristiques qui lui sont confiés par le gouvernement. Elle a mis sur pied le Fonds Parcs Québec, dédié exclusivement à soutenir des projets de protection des espèces fauniques et floristiques, de maintien des habitats et de conservation du patrimoine culturel dans les parcs nationaux. Les dons récoltés par le Fonds Parcs Québec serviront à mener différents travaux de recherche, de suivi ou d’inventaire. Ces travaux permettront d’obtenir de précieuses données nécessaires, notamment, à la sauvegarde d’espèces végétales ou animales. www.fondsparcsquebec.com

À PROPOS DE CONSIGNÉCO
Fondée en 2011, Consignéco est une association à but non lucratif qui vise à faire connaître la valeur économique, écologique et sociale de la consigne afin d’inciter les gens à rapporter les contenants de bière consignés chez les détaillants. Issue d’une entente entre les brasseurs et RECYC-QUÉBEC, cette association regroupe les membres de l’industrie brassicole du Québec dont la Brasserie Labatt du Canada, Molson Coors Canada, le Regroupement des distributeurs de bières du Québec, Sleeman Unibroue et l’Association des microbrasseries du Québec. Véritables pionniers de la consigne, les brasseurs sont fiers d’être à l’origine de ce système établi depuis plus de 200 ans. Pour en apprendre davantage sur la valeur de la consigne ou joindre le mouvement de la consigne sociale, visitez le consigneco.org. Vos canettes ont de la valeur : rapportez-les! 

 
10.06.2016

AIME TA CANETTE. AIME TA PLANÈTE. Une spectaculaire tour d’observation 100 % recyclée en construction rue Saint-Laurent


Montréal, le 10 juin 2016 – Une spectaculaire tour d’observation 100 % recyclée et d’une hauteur de huit mètres est en construction rue Saint-Laurent – coin Marianne – à Montréal. Objectif : proposer une vue imprenable sur le festival MURAL qui débute aujourd’hui jusqu’au 19 juin prochain et surtout, mettre à profit le talent, l’audace et la vision de l’artiste américain de renommée internationale DJ Neff du collectif CANLOVE pour démontrer tout le potentiel économique, social et environnemental des contenants consignés.  

– Saviez-vous que plus de 460 millions de contenants consignés ne sont pas retournés chaque année?
– Saviez-vous qu’en mettant bout à bout un an de canettes consignées non rapportées au Québec, on pourrait faire le tour de la terre.
– Saviez-vous que ces précieuses canettes esseulées valent leur pesant d’or, soit 25 millions de dollars?  

Heureusement, une partie d’entre elles se transformeront en château question d’enjoliver le célèbre boulevard Saint-Laurent et de ravir les visiteurs!  

« 
À travers cette œuvre originale, nous souhaitons démontrer qu’en aimant sa canette, on aime sa planète! Sur le plan environnemental, la consigne est une avenue des plus payantes comme elle permet de recycler la matière à 100 %. Elle constitue aussi une source de financement pour des projets communautaires de toute sorte. Clairement, en valorisant nos contenants consignés, on peut faire une différence et transformer sa communauté », d’indiquer Pascale Demers, porte-parole de Consignéco.
 

#consignelove

Consignéco convie d’ailleurs la population à deviner combien de canettes auront été utilisées pour construire cette impressionnante tour de trois étages. Rien de plus simple : partager une photo originale en lien avec l’événement MURAL, l’installation de la tour ou la consigne en utilisant le mot-clic #consignelove et courrez la chance de remporter la valeur du château. Le même montant sera aussi offert aux  Valoristes, une coopérative qui vient en aide aux personnes en situation de pauvreté en gérant un site de dépôt temporaire de contenants consignés.
 

« Plus de 100 000 contenants consignés ont été récupérés grâce au travail remarquable des Valoristes. C’est sans compter les centaines de personnes en situation de pauvreté qui en bénéficient. Au-delà de la construction d’une tour magistrale, Consignéco souhaite ainsi saluer et encourager la Coopérative des Valoristes, ajouter du piquant à l’événement et donner de l’élan à un mouvement de solidarité », de conclure la porte-parole.
   
 
À PROPOS DE CONSIGNÉCO

Fondée en 2011, Consignéco est une association à but non lucratif qui vise à faire connaître la valeur économique, écologique et sociale de la consigne afin d’inciter les gens à rapporter les contenants de bière consignés chez les détaillants. Issue d’une entente entre les brasseurs et RECYC-QUÉBEC, cette association regroupe les membres de l’industrie brassicole du Québec dont la Brasserie Labatt du Canada, Molson Coors Canada, le Regroupement des distributeurs de bières du Québec, Sleeman Unibroue et l’Association des microbrasseries du Québec. Véritables pionniers de la consigne, les brasseurs sont fiers d’être à l’origine de ce système établi depuis plus de 200 ans. Pour en apprendre davantage sur la valeur de la consigne ou joindre le mouvement de la consigne sociale, visitez le consigneco.org. Vos canettes ont de la valeur : rapportez-les!  

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SOURCE :                                                 
Pascale Demers
              
Directrice des communications
                                  
Consignéco
                                  
Tél. : 514 953-5551
 

POUR INFORMATION :                     
Gabriel Beauséjour

Le Cabinet de relations publiques NATIONAL
Tél. : (514) 843-2399
Cell. : (514) 962-0850
Courriel : gbeausejour@national.ca

 
05.01.2016

COMMUNIQUÉ — Les 10 résolutions de l’année de Consignéco


Montréal, le 5 janvier 2016 – Cette année sera la bonne. Celle où vos bonnes intentions deviendront réalité. Il est temps de « canner » durablement vos vœux et de poser des gestes simples qui font toute la différence. Consignéco vous convie à adopter 10 résolutions qui, toute l’année durant, vous permettront de faire votre part pour l’environnement et votre communauté. 

1. À la vue d’un contenant consigné, je m’arrêterai : 100 % recyclée, j’aurais tort de ne pas les rapporter! 


2. Cette année, promis, je rapporterai mon sac de canettes et de bouteilles esseulées… doux souvenirs d’un party mémorable marqué par les « toasts » à la Nouvelle année, les rigodons de « Mononcle » Gaston, la tourtière de « Matante Thérèse » et le sucre à la crème de grand-mère. 


3. Dans mon bureau, un bac pour les contenants consignés j’installerai et un peu de promotion auprès de mes collègues je ferai : évitons de gonfler les rangs des 562 millions de contenants qui ne sont pas retournés chaque année! 


4. Tout d’un coup j’aurai une idée : et si on offrait nos vides pour une bonne cause? 


5. Sur le site consigneco.org, je rechercherai un organisme dans mon quartier : Saviez-vous que 8 % des organismes à but non lucratif du Québec ont recours à la collecte de contenants consignés comme source de financement et que pour près du quart d’entre eux (21 %), il s’agit même d’une question de survie! 


6. Je me laisserai inspirer par des initiatives plus touchantes les unes que les autres comme celle de la Coopératives des Valoristes qui, grâce à la mise sur pied d’un centre de dépôt temporaire, a permis de récupérer 310 000 canettes consignées tout en luttant contre l’itinérance. 


7. Je m’extasierai devant le projet de collecte de consignes de la Maison des jeunes L’Olivier des Etchemins qui, avec l’appui de la Chambre de commerce de l’Est de la Beauce, finance un voyage annuel de coopération destiné à la construction d’une maison pour une famille défavorisée du Guatemala : visiblement nos jeunes sont philanthropes et débrouillards! 


8. Je serai touché par l’histoire de la petite Laurie-Anne Fillion-Talbot qui, après une collecte de quatre jours rodée au quart de tour dans les rues avoisinantes au Marché Jean-Talon à Charlesbourg, a amassé 1 610,40 $ pour la Fondation de la Maison Michel-Sarrazin : un élan de générosité en mémoire de son grand-père qui s’y est éteint dans la dignité. 


9. J’aurai envie moi aussi, de faire partie de l’équation et de joindre la consigne sociale, un mouvement qui prend de l’ampleur au Québec. Saviez-vous qu’on recense plus de 250 organismes et une quarantaine d’entreprises, associations et municipalités qui participent à la plateforme de jumelage de Consignéco? 


10. L’an prochain, je partagerai avec Consignéco mon histoire à succès, fier d’avoir soutenu un organisme de mon quartier et d’avoir donné un peu d’oxygène à une planète qui en a grandement besoin… et je trinquerai à la Nouvelle Année en m’extasiant devant les 15 vies de ma bouteille réutilisable et les 60 jours requis pour que ma canette retrouve une place de choix sur les tablettes de mon détaillant préféré : Santé! 


À PROPOS DE CONSIGNÉCO 
Fondée en 2011, Consignéco est une association à but non lucratif qui vise à faire connaître la valeur économique, écologique et sociale de la consigne afin d’inciter les gens à rapporter les contenants de bière consignés chez les détaillants. Issue d’une entente entre les brasseurs et RECYC-QUÉBEC, cette association regroupe les membres de l’industrie brassicole du Québec dont la Brasserie Labatt du Canada, Molson Coors Canada, le Regroupement des distributeurs de bières du Québec, Sleeman Unibroue et l’Association des microbrasseries du Québec. Pour en apprendre davantage sur la valeur de la consigne ou joindre le mouvement de la consigne sociale, visitez le consigneco.org. Vos canettes ont de la valeur : rapportez- les! 

 
04.01.2016

Lutter contre le cancer, une canette à la fois


(Caplan) Si tout se déroule comme prévu, Pierre Audet, un ambulancier de Caplan, en Gaspésie, déposera un chèque de 10 000 $ à la Société canadienne du cancer en juin, le résultat de la collecte de dizaines de milliers de canettes d’aluminium et de bouteilles diverses en un an.

Ce don nécessite la complicité de centaines de personnes qui, au lieu de toucher le fruit du retour de leurs canettes et bouteilles vides dans les commerces, choisissent de les déposer chez M. Audet, le long de la route 132. Il a d’ailleurs aménagé une affiche et un contenant de dépôt le long de cette route, en plus de doter sa cour de deux abris pour loger lesdites canettes et bouteilles.

S’il atteint son objectif de 10 000 $ en juin, il aura totalisé 24 000 $ en six ans au profit de la Société canadienne du cancer. Il remet ses dons à l’occasion du Relais pour la vie, cette marche de 12 heures menée de nuit pour amasser des fonds et sensibiliser la population au fait que le cancer progresse toujours, notamment dans l’obscurité.

«J’ai donné la première fois en 2010. Ma femme voulait marcher dans le Relais, mais [elle ne voulait] pas ramasser d’argent […] Mon coeur me disait d’embarquer, mais je ne voulais pas tanner le monde. J’ai mis une pancarte au chemin pour inviter le monde à laisser ici les bouteilles de bière et de liqueur, et les canettes, au profit du Relais pour la vie. La première année, on a donné 289 $. Ça m’a encouragé», raconte M. Audet.

Sa conjointe Linda Poirier a joint l’organisation du Relais pour la vie de la Baie-des-Chaleurs, et Pierre Audet a remis son affiche le long de la route.

«En 2011, j’ai remis 1133 $. C’était encore encourageant et j’ai décidé de continuer. En 2012, j’ai remis 1448 $, puis 2400 $ en 2013, 3273 $ en 2014 et 5376 $ en 2015. Maintenant, depuis 2011 en fait, ma pancarte est là à l’année. Les gens me connaissent», signale M. Audet.

Éviter le bac

Il veut sensibiliser en particulier les gens qui mettent leurs bouteilles et leurs canettes dans le bac de récupération, de l’argent qu’il considère comme «perdu». Sa cause touche tant de gens qu’il a presque des succursales.

«C’est pour une bonne cause. Je pense que ça fonctionne [convaincre les gens de ne pas mettre dans la récupération les bouteilles et les canettes]. J’aimerais pogner10 000 $ pour juin 2016; c’est presque 5000 $ de plus [que le dernier don]. Je prends une chance. J’ai de l’aide. Une femme de New Richmond, Ginette Ferlatte, ramasse pour moi, comme Martin Arsenault, aussi de Caplan, mais qui couvre Saint-Siméon», dit-il.

L’homme tient un registre statistique de son utile passe-temps. Il dit ne pas trop savoir pourquoi, mais il est clair que c’est un élément motivateur et, pour les journalistes, un élément vraiment pratique. «En 2015, j’ai ramassé 52 300 canettes, à cinq cents», souligne-t-il en spécifiant qu’un don de 10 000 $ nécessitera100 000 canettes, si le ratio canettes/bouteilles est similaire.

«Depuis juin, j’ai 46 700 canettes. C’est 240 canettes par sac. Ils [les repreneurs] me font confiance, comme le dépanneur. Un voyage de 280 $, c’est gros, mais mon plus gros voyage a rapporté 320 $. Je mets de 15 à 20 heures par semaine pour démêler ça», dit-il.

Il remplit sa remorque aux deux semaines pour aller porter les sacs et les caisses au dépanneur local, en synchronisation avec la firme Recycan. «Je ne prends aucun sou pour mes dépenses. L’argent est déposé à mesure dans un compte et je fais un chèque en juin. Je tiens à cette cause», dit-il.

La cause le touche directement, maintenant. «J’ai un cancer de la prostate depuis un an et demi. Je prends des pilules. Je n’ai pas été opéré et je n’ai pas eu de traitement [de chimiothérapie]. C’est une tumeur minime, contrôlée régulièrement. Je vois un urologue aux six mois, et j’ai une prise de sang aux trois mois. L’un de mes frères a un cancer généralisé», note-t-il.

Sur une note plus légère, Pierre Audet dit savoir quel type de semaine il aura dès le dimanche. «Quand j’ai beaucoup de bouteilles le dimanche, je sais que j’en recevrai beaucoup la semaine. Quand j’ai rien le dimanche, ce sera une petite semaine». Avec la collaboration spéciale d’André Bécu

Source: http://www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/sante/201601/03/01-4936178-lutter-contre-le-cancer-une-canette-a-la-fois.php

 
12.11.2015

Vivre des bouteilles et canettes vides des autres


C’est en voyant des gens ramasser bouteilles et cannettes dans les poubelles et les bacs de récupération que Jody Aveline a eu l’idée d’en faire son gagne-pain. Depuis juin, le résident de Verdun a créé Cans4Cash , une entreprise de collecte qu’il opère seul, sept jours sur sept.

Parti de chez lui à l’âge de 16 ans, le Verdunois de 44 ans, qui souffre de légers handicaps, a occupé divers emplois manuels et a même été monteur de lignes aux États-Unis. Récemment incapable de se trouver un boulot, même à la suite de nombreuses entrevues, Jody Aveline a décidé de créer sa propre entreprise.

La recette de Cans4Cash est simple. En faisant du porte-à-porte, M. Aveline achète, à prix réduit, des bouteilles et canettes consignées que les gens ne récupéreraient pas nécessairement.  Il récupère par après la pleine valeur de ces dernières à l’épicerie.

Depuis le 1er juin, il arpente les rues de LaSalle, Verdun et du Sud-Ouest en offrant son service. «Nous grandissons au rythme d’un client par jour», explique-t-il.

Débuts modestes
Si son entreprise compte actuellement environ 150 clients, dont 85 sur une base régulière, Jody Aveline avoue humblement que les profits ne sont pas encore au rendez-vous. Les revenus peuvent varier entre 7$ et 80$ par jour. Le nombre de clients peut pour sa part atteindre une douzaine par semaine.

Pour les clients qui ont moins de 5$ en bouteilles et cannettes, «j’achète au tiers du prix de la consigne et je la change au magasin. Quand c’est pour plus de 5$, je paie la moitié du prix.

L’entreprise collecte les bouteilles de plastique de cinq sous, les cannettes d’aluminium de 5 à 20 cents et les bouteilles en verre de 10, 20 ou 30 cents, remboursables par Consigne Québec.

«J’investis une partie de l’argent pour faire rouler la compagnie et le reste pour des causes telles le cancer, la Fondation rêves d’enfants, les enfants malades, le club des petits déjeuners et autres».

Projets d’avenir
Même s’il a commencé en bas de l’échelle, Jody ne manque pas d’ambition et souhaite que son entreprise, puisse un jour agrandir son territoire à la région montréalaise et, pourquoi pas, à tout le Québec. «Mon objectif est d’engager une dizaine de personnes d’ici 2017», lance le propriétaire.

Son entreprise, qui a son propre site web, est aussi présente sur Facebook et Twitter.

Jody Aveline souhaite que son entreprise demeure la plus écologique possible. Elle possède d’ailleurs quatre vélos équipés de remorques. Quand on lui demande comment il compte offrir son service en hiver, le principal intéressé répond qu’il est même prêt à installer des traineaux à ses vélos.

Des chiffres pertinents
400 millions de contenants consignés jetés à la poubelle chaque année au Québec
Plus d’un million de contenants consignés finissent dans la nature.
Les Québécois renoncent à 20 M$ de consigne par année.
1500 tonnes de verre déversés dans les décharges chaque mois.

Source: Journal Métro

 
11.11.2015

La consigne sociale aide à financer un stage au programme d’insertion à l’emploi


Depuis le mois de février 2015, le Programme d’Information sur le travail et la recherche d’emploi de Montréal (PITREM) récolte les canettes consignées récupérées par 16 entreprises du 5600 rue Hochelaga en partenariat avec la Chambre de Commerce de l’Est de Montréal (CCEM) et Consignéco. De plus, au courant de l’été, la compagnie JP Bertrand Maintenance s’est associé au projet en collectant les canettes consignées auprès de 7 de ses clients. De son côté, la compagnie SOGEFI a décidé de mettre un terme au gaspillage en faisant appel au PITREM pour collecter les dizaines de canettes de ses employés. 

Grâce à leur soutien, le PITREM a vendu jusqu’à maintenant 500.80$ de canettes soit l’équivalent de 33% d’un stage pour un jeune participant au programme d’insertion en emploi.   

Il est important de souligner la participation des entreprises à ce grand projet collectif. 

Entreprises du 5600 Hochelaga

Transport Lacombe 
Jalbec
Medicar
TRIDIM 
La boîte à lunch
ISIOS-PPM
SNPD
Avocat Gauthier et Cordeau 
CCEM 
Via Conseil 
L’Anonyme 
CIBIM
Jocelyn Gagnon 
Josette Giroux 
Bellon 
JP Bertrand 

Entreprises clientes de JP Bertrand Maintenance 

Caisse populaire Desjardins du Centre est de la métropole 
Caisse populaire Desjardins Pierre Le gardeur
Caisse populaire Desjardins Anjou-Tétreaultville
Caisse populaire Desjardins St-Donat de Montréal
Caisse populaire Desjardins du Quartier Latin de Montréal 
Albi Nissan Repentigny 
Hardy, Normand et Associés 

Nous visons toujours plus de canettes et plus d’entreprises participantes afin d’offrir davantage de stages rémunérés en entreprise. 

Vous voulez en apprendre davantage sur le PITREM, consultez notre site Internet www.pitrem.org et ne manquez pas notre section « Ils nous appuient ». 

Le Programme d’information sur le travail et la recherche d’emploi de Montréal (PITREM) est un organisme communautaire favorisant l’insertion sociale, professionnelle et économique des jeunes et des adultes de 35 ans et moins ayant des besoins relatifs au marché du travail. 

 
16.10.2015

Semaine québécoise de réduction des déchets: FAITES VOTRE PART GRÂCE À LA CONSIGNE SOCIALE!


Montréal, le 16 octobre 2015 – Saviez-vous que 460 millions de contenants consignés ne sont pas retournés chaque année? Qu’une partie d’entre eux est malheureusement abandonnée, jetée ou, bien parfois, emmagasinée dans le garage! Pourtant, ces précieuses canettes esseulées valent leur pesant d’or, 25 millions de dollars pour être exact, et pourraient faire une différence pour un organisme de votre région. Au moment où la Semaine québécoise de réduction des déchets bat son plein, et que de nombreuses entreprises, organismes ou citoyens se demandent comment faire leur part, Consignéco vous propose un geste simple : joindre le mouvement de la consigne sociale en « donnant vos vides » pour une bonne cause.

« La Semaine québécoise de réduction des déchets est une initiative importante qui nous rappelle que nous avons le pouvoir de changer les choses et de contribuer, au quotidien, à réduire les déchets et à valoriser ce qui ne devrait jamais se retrouver dans la nature. Sur
le plan environnemental, la consigne est une avenue des plus payantes comme elle permet de recycler 100 % de la matière! Elle constitue, en plus, une source de financement pour des projets communautaires de toute sorte, comme des projets en environnement »,  d’indiquer Pascale Demers, porte-parole de Consignéco.

Consignéco propose une foule d’outils et de conseils pratiques pour organiser une collecte réussie. De récentes études terrain démontrent d’ailleurs qu’en s’organisant efficacement, en choisissant bien son moment et en misant sur la communication, une collecte permet d’amasser jusqu’à 4 000 $ en une seule journée! Parlez-en au club de soccer Les Phénix de Québec qui ont financé une partie de leur camp d’entraînement à l’étranger grâce à la consigne (https://vimeo.com/53520797).

Consignéco joue aussi les entremetteuses, incitant les entreprises à s’unir à des organismes afin de soutenir leur mission et leurs projets grâce à l’argent de la consigne. L’organisation propose une plateforme de jumelage disponible sur son site Web (consigneco.org) qui permet de géolocaliser un partenaire potentiel.

Partout au Québec, les histoires à succès se multiplient, qu’on pense à la Coopérative des Valoristes qui, grâce à la mise sur pied d’un centre de dépôt temporaire, a permis de récupérer 310 000 canettes tout en luttant contre l’itinérance; au Rouge et Or de l’Université Laval qui soutient la relève sportive en amassant plus de 96 000 canettes par année; à l’École nationale de l’humour qui appuie
l’organisme Au Trait d’Union qui lutte contre le décrochage scolaire ou encore à la Sépaq qui a délesté les parcs d’Oka, du Mont-Orford et de la Yamaska de plus de 105 000 canettes, en quatre ans, pour remettre 7 000 $ au Fonds Parcs Québec. Un contenant consigné rapporté n’est pas déchet : chacun d’eux, lorsque récupéré, permet de rendre plus performante la gestion des matières résiduelles.


« Il est plus que temps de valoriser vos canettes orphelines et de faire une différence pour l’environnement et votre communauté. Voilà un moyen tout simple de participer, vous aussi, à la Semaine québécoise de réduction des déchets », de conclure la porte-parole.